Le Théâtre des Ombres
sera en représentation à Toulouse
sur le parvis couvert de l'église Saint Aubin
Place Saint Aubin
du 1er au 10 juillet 2003 à 21h00
Dossier de presse - Tarifs - Echos de la presse - Retour - Histoire du Théâtre des Ombres
Au programme
Le Fils de Croguennec
Création Avignon 2002
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Au temps des pêches en Mer d'Islande. Des landes et calvaires des côtes nord de la Bretagne aux ports d'Islande : la quête d'un jeune garçon qui s'engage comme petit mousse pour tenter de retrouver son père qui n'est jamais revenu d'une de ces redoutables campagnes de pêche rendues célèbres par Pierre Loti
Le Mythe de Persée
Création Avignon 2002
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Où l'on retrouvera Atlas, la Méduse, Pégase,
les 3 femmes qui partagent un œil, Andromède et tout ceux qui apparaissent dans
cet épisode spectaculaire de la mythologie grecque
Pour finir en chantant nous donnerons l’incontournable spectacle qui a déjà réjoui plusieurs centaines de spectateurs
Une Jeune Grenouille
Création Avignon 1996
Jadis vivait au fond d'un marécage, une jeune grenouille aussi belle que sage. Un jeune crapaud à peu près du même âge s'en vint un jour lui parler mariage ... Malheureusement cette histoire commencée dans la douceur finira dans le tragi-comique
Tarif : 6 € - Tarif enfant : 4 € - Forfait Famille (2 adultes et au moins 3 enfants) : 20 €
Renseignements et Réservation (fortement recommandée) au 06 75 70 91 02 ou au 05 61 27 38 53
Durée : 1 heure
Le Théâtre des Ombres est partenaire de Cultures du Coeur
une association qui fait le lien entre social et culturel
Réalisation des spectacles et mise en ombre :
Christophe BASTIEN-THIRY et Rupert INGRAMS assistés de Marc ROSSI
Manipulateurs et conteurs:
Christophe BASTIEN-THIRY, Rupert
INGRAMS, Marc ROSSI, Dominique HEULET, Sophie GEFFROY
Musique :
Retour Histoire du Théâtre des Ombres
Théâtre
des Ombres - 26, rue d'Orléans 31000 Toulouse
Tél : 05 61 27 38 53
Paru
dans la Dépêche du Midi (4/7/03)
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Paru
dans Toulouse Cultures été 2003
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Tout d’abord quelques mots sur
le spectacle : j’ai beaucoup aimé, un pur moment de détente et de
plaisir ! Vos transitions sont superbes, elles se fondent dans
l’animation, participant ainsi aux effets de profondeur, aux recadrages etc… cela donne un véritable espace à la scène, sans
compter vos petites trouvailles qui font
« d’un rien » un phare, un fond marin …et de très belles
ombres blanches. Les apparitions de Rupert (deviné à ce léger accent ) apportent beaucoup tout comme celle du
« musicien », cela renforce le côté « spectacle vivant ». Merci
encore pour ce joli moment de poésie, d’humour et de fantasmagories.
Bruno Dif, Photographe Plasticien
Extrait de la chronique 'vu dans
le OFF' du 21 juillet 2002
Un témoignage d'un spectateur invité par l'entremise de Passion Théâtre sur Internet
A
l'ombre du palais se tapissent de drôles d'histoires... de petits personnages, des
rois, des géants, des grenouilles grouillent dans les pierres des escaliers
Sainte-Anne. Certains prennent des bateaux, d'autres des chaussons ailés,
mais toujours leurs ombres témoignent. Oubliant la nuit qui tombe doucement
autour de moi, je me laisse complètement happer par cet univers de douceur aux
contours délicats.
Première surprise: j'attendais derrière le
mot "ombres chinoises" de la poésie fine, aux mots ciselés aussi
nettement que les détails des ombres. Quel étonnement d'y trouver un spectacle
vivant, aussi vivant qu'un spectacle de marionnettes dans son rapport au
public. Derrière l'écran lumineux, la quête de Persée devient une burlesque
épopée, aux dialogues jubilatoires, et parvient à lier par moment au si ancien
concept du théâtre d'ombres le plaisir de l'absurde: Persée ennuie Atlas pour
avoir un croque-monsieur, la jeune fille sauvée par Persée s'enquiert de son
identité après lui avoir promis le mariage. Je ris de bon cœur. Avant de
plonger dans un monde de pêcheurs bretons, un monde de bateaux si beaux, de
mers si rudes, un monde si cruel, mais tellement poétique que je ne peux rester
insensible. Alors la fable de la grenouille parisienne, chantée par tout le
public, me réchauffe le cœur, et c'est bouillonnante
d'une gaieté partagée que je passe enfin derrière l'écran pour démystifier,
comprendre la technique qui m'a fait rêver. Or, là, deuxième surprise. Comment
donc peut-on, avec si peu, transmettre tant d'émotions?
CecileVandevelle
Texte publié sur www.passion-theatre.org
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