L’association de quartier Chalets Roquelaine invite
Le Théâtre des Ombres
à présenter son dernier spectacle d’ombres
à la Maison de Quartier, 7 boulevard Matabiau - Toulouse
le 12 octobre 2003 à 16h30 et 18h00
Renseignements et réservation (conseillée)
05 61 27 38 53 ou 06 75 70 91 02 ou sur www.theatredesombres.com
Participation aux frais : adulte 2€ - enfant 1€ - famille (2 adultes et au moins 2 enfants) 5€
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du Théâtre des Ombres - Au programme
- Echos de la presse
Le Fils de Croguennec
Création Avignon 2002
Pour voir d'autres images de ce spectacle
Au temps des pêches en Mer d'Islande. Des landes et calvaires des côtes nord de la Bretagne aux ports d'Islande : la quête d'un jeune garçon qui s'engage comme petit mousse pour tenter de retrouver son père qui n'est jamais revenu d'une de ces redoutables campagnes de pêche rendues célèbres par Pierre Loti
Le Mythe de Persée
Création Avignon 2002
Pour voir d'autres images de ce spectacle
Où l'on retrouvera Atlas, la Méduse, Pégase, les
3 femmes qui partagent un œil, Andromède et tout ceux qui apparaissent
dans cet épisode spectaculaire de la mythologie grecque
Pour finir en chantant nous donnerons l’incontournable spectacle qui a déjà réjoui plusieurs centaines de spectateurs
Une Jeune Grenouille
Création Avignon 1996
Jadis vivait au fond d'un marécage, une jeune grenouille aussi belle que sage. Un jeune crapaud à peu près du même âge s'en vint un jour lui parler mariage ... Malheureusement cette histoire commencée dans la douceur finira dans le tragi-comique
Réalisation des spectacles et mise en ombre :
Christophe BASTIEN-THIRY et Rupert INGRAMS assistés de Marc ROSSI
Manipulateurs et conteurs:
Christophe BASTIEN-THIRY, Rupert INGRAMS, Marc ROSSI, Dominique HEULET, Sophie GEFFROY
Musique :
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Théâtre des Ombres - 26,
rue d'Orléans 31000 Toulouse
Tél
: 05 61 27 38 53
Paru dans la Dépêche
du Midi (4/7/03)
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Paru dans Toulouse Cultures été
2003
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Tout d’abord quelques
mots sur le spectacle : j’ai beaucoup aimé, un pur moment de détente
et de plaisir ! Vos transitions sont superbes, elles se fondent dans l’animation,
participant ainsi aux effets de profondeur, aux recadrages etc…
cela donne un véritable espace à la scène, sans compter
vos petites trouvailles quifont «
d’un rien » un phare, un fond marin …et de très belles ombres
blanches. Les apparitions de Rupert (deviné à ce léger accent
) apportent beaucoup tout comme celle du « musicien »,
cela renforce le côté « spectacle vivant ». Merci
encore pour ce joli moment de poésie, d’humour et de fantasmagories.
Bruno Dif, Photographe Plasticien
Extrait de la chronique 'vu dans le OFF'
du 21 juillet 2002
Un témoignage d'un spectateur invité par l'entremise de Passion Théâtre sur Internet
A l'ombre du palais se tapissent
de drôles d'histoires... de petits personnages, des rois, des géants,
des grenouilles grouillent dans les pierres des escaliers Sainte-Anne.
Certains prennent des bateaux, d'autres des chaussons ailés,
mais toujours leurs ombres témoignent. Oubliant la nuit qui tombe
doucement autour de moi, je me laisse complètement happer par cet
univers de douceur aux contours délicats.
Première surprise: j'attendais
derrière le mot "ombres chinoises" de la poésie fine, aux
mots ciselés aussi nettement que les détails des ombres.
Quel étonnement d'y trouver un spectacle vivant, aussi vivant qu'un
spectacle de marionnettes dans son rapport au public. Derrière l'écran
lumineux, la quête de Persée devient une burlesque épopée,
aux dialogues jubilatoires, et parvient à lier par moment au si
ancien concept du théâtre d'ombres le plaisir de l'absurde:
Persée ennuie Atlas pour avoir un croque-monsieur, la jeune fille
sauvée par Persée s'enquiert de son identité après
lui avoir promis le mariage. Je ris de bon cœur. Avant de plonger dans
un monde de pêcheurs bretons, un monde de bateaux si beaux, de mers
si rudes, un monde si cruel, mais tellement poétique que je ne peux
rester insensible. Alors la fable de la grenouille parisienne, chantée
par tout le public, me réchauffe le cœur, et c'est bouillonnante
d'une gaieté partagée que je passe enfin derrière
l'écran pour démystifier, comprendre la technique qui m'a
fait rêver. Or, là, deuxième surprise. Comment donc
peut-on, avec si peu, transmettre tant d'émotions?
CecileVandevelle
Texte publié sur www.passion-theatre.org
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